Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim LHomme À La Voiture Noire, Troisième Partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Lhomme à la voiture noire, Troisième partie
Warda, Slim et Sofiane avaient continué longtemps leur ménage à trois. Ils se rencontraient le plus souvent chez Warda et Slim et parfois dans le logement de célibataire que Sofiane occupait dans une cité résidentielle de la banlieue ouest dAlger. Lappartement du couple était plus grand et mieux aménagé pour le type dactivité quils y menaient. Le trio semblait réellement heureux de la vie quil menait : une vie dérotisme débridé et de consommation sans modération de sexe. Chaque membre du trio était au comble du bonheur. Daprès les échos qui, de temps en temps, me parvenaient, il apparaissait que Warda était réellement amoureuse de ses deux hommes, qui le lui rendaient bien.
Warda me donnait rendez-vous avec parcimonie, il faut bien lavouer pour partager avec moi un café ou un thé et surtout pour me tenir au courant de lévolution des aventures de son couple (devenu depuis, trio). Elle venait maintenant le plus souvent seule, ne voulant certainement pas mettre dans le secret Sofiane, qui ne savait pas que ses amis me racontaient tout et que jétais déclaré chroniqueur officiel des aventures amoureuses de Warda et Slim.
Je continuais donc à servir dintermédiaire entre le couple et les lecteurs des quelques chroniques que je faisais paraître. Warda devenait de plus en plus belle. Il me semblait que le bonheur quelle affichait accroissait encore plus sa beauté naturelle et la rendait encore plus sensuelle. Son visage resplendissait de lumière et son corps avait atteint la plénitude de lépanouissement. Il marrivait, en la regardant, de ressentir des émois qui ne pouvaient tromper sur leur signification : jétais attiré par cette femme comme le fer par un aimant.
Je mefforçais toujours de garder mon calme et de refouler mes mauvaises pensées, mais javoue que cela devenait de en plus en plus difficile.
Je pense que Warda, qui était une fine mouche, était consciente de leffet quelle me faisait et savait que je navais rien de cet intellectuel, froid et distant, que je faisais semblant dêtre. Elle avait certainement dû lire dans mes yeux autant de concupiscence quelle lisait dans ceux de tous les hommes qui voulaient la tirer. Mais elle aussi ne laissait rien paraître et continuait à me considérer froidement, comme une star considère le journaliste venu linterviewer; avec distance et froideur polie. Elle voulait un chroniqueur de talent, et elle lavait trouvé. Cétait tout ce qui comptait pour elle, me concernant. Elle semblait très contente de la manière dont je reprenais ses histoires (En réalité, je nai aucun mérite, parce que ma Shahrazade, racontait tellement bien, quil me suffisait de reprendre ses histoires telles quelles.)
La dernière fois que je lai rencontrée, elle avait lair encore plus gai et épanoui que dhabitude. Je savais dinstinct que lhistoire de « lhomme à la voiture noire » venait de connaître un prolongement. Jétais impatient den connaître les détails. Et cest ainsi que ma magnifique Shahrazade, me narra la suite de ses aventures amoureuses.
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Sofiane, la plupart du temps, vivait seul dans un appartement que son père lui avait acheté dans une luxueuse résidence pas loin de Staoueli, dans la banlieue maritime ouest dAlger. Cétait un appartement de célibataire, qui ne lui servait que pour y passer la nuit; et, avant de tomber amoureux de moi et de vivre avec Slim et moi la vie palpitante dun couple à trois, à y amener ses conquêtes féminines. Parmi les femmes quil amenait souvent dans son antre de célibataire, il y avait Aïcha, son ex fiancée, devenue sa belle-mère la femme à son père. Depuis son retour des Etats-Unis, où il avait continué ses études supérieures, ils se voyaient de temps en temps, bien entendu, en cachette de Mohand, son père.
Pour Sofiane, il sagissait surtout de vengeance : il navait toujours pas pardonné à son père de lui avoir volé son amour de jeunesse. Il lui en voulait toujours davoir utilisé sa formidable situation financière (il était aussi riche que Crésus, disait-il) pour séduire la jeune fille quétait alors Aïcha et pour lépouser. Il prenait plaisir à faire pousser des cornes sur le front de son père. Pour Aïcha, il sagissait dautre chose : elle était toujours amoureuse de Sofiane. Passés les premiers temps de son mariage, elle avait vite découvert quelle avait fait fausse route et que tout largent de Mohand ne le rendait, ni plus séduisant, ni plus intéressant. Elle avait découvert en lui, un monstre dégoïsme qui ne pensait quà son plaisir et qui jetait ses jouets, aussi vite quil les acquérait.
Mohand était un homme qui était né pauvre et qui avait su profiter de la situation politico-économique désorganisée du pays, pour faire fortune. Il avait eu lintelligence de saccoquiner avec les hommes de pouvoir, quil servait et qui lui renvoyait lascenseur. Il était aussi assez intelligent, pour ne pas laisser toute sa fortune dans le pays : il en avait transféré une grande partie à létranger, quil faisait fructifier par lintermédiaire davocats daffaires internationaux.
Mohand utilisait sa fortune en priorité pour vivre ses passions et profiter de la vie. Il aimait par-dessus tout le sexe. Et Aïcha elle sen était très vite rendue compte navait été pour lui quun instrument de cette passion pour le sexe. Elle lui avait plu dès la première fois quil lavait vue avec Sofiane, et il en avait fait une obsession. Il savait quil ne pouvait lavoir quen lépousant. Il le fit donc, en lui faisant miroiter une vie de princesse des mille et une nuits, à qui il ne manquera jamais rien dans la vie. Elle tomba dans le piège, laissa tomber Sofiane, avec lequel pourtant elle avait été vraiment heureuse y compris physiquement et se maria avec lhomme qui venait davoir quarante huit ans. Mais très vite, une fois passé les premières nuits où il avait satisfait les fantasmes érotiques quil avait nourris envers elle, il reprit très vite ses habitudes de coureur de jupon et de mari inconstant.
Il découchait souvent et partait pour des voyages daffaires, qui duraient une éternité. Aïcha se retrouvait très souvent seule et commençait à regretter Sofiane. Elle le lui dit, mais pour lui cétait trop tard. Il partit donc faire ses études et ne revint que huit années plus tard. Il retrouva Aïcha aussi belle quavant et bien que le lien amoureux sétait rompu chez lui, il décida davoir avec elle des relations sexuelles, qui lui servirait surtout de vengeance. Aïcha elle, aimait sincèrement Sofiane. Elle considérait sa trahison comme une erreur de jeunesse et surtout, elle se considérait comme une victime des manuvres diaboliques de son mari.
Ils se rencontraient de temps en temps, soit chez elle, quand le mari était absent, soit chez lui dans sa garçonnière. Ils faisaient lamour comme autrefois, sans tabous. Aïcha était une femme qui aimait le sexe libre. Elle lavait connu autrefois avec son fiancé, puis lavait totalement perdu avec son mari.
Sofiane, lui voulait que son père apprenne la chose. Il lui en voulait tellement, quil voulait le faire souffrir en lui mettant la honte. Il pensait que cela allait le rendre furieux, comme lui lavait été, huit ans auparavant, en apprenant que sa fiancée allait le quitter pour son père. En fait, je ne sais pas trop pourquoi, ce fut moi avec la complicité de Slim qui lui suggéra quil faisait totalement fausse route et que Mohand, son père serait très heureux de voir sa femme entre les bras de son fils.
- Il suffit seulement de trouver la bonne formule. Ton père est un chaud lapin et un coureur de jupons invétéré. Il suffit de lui mettre une belle femme entre les bras, en présence de Aïcha, pour que tout senclenche. Tu dis quil ne sait pas résister à ses pulsions sexuelles; trouve donc une belle femme qui laguichera devant son épouse, et le tour est joué.
Ce que je venais de lui suggérer était une graine qui nallait pas tarder à germer dans les esprits très imaginatifs de Sofiane et de Slim. Un jour, Sofiane après une de nos séances à trois, me dit quil avait passé la nuit précédente avec Aïcha dans la villa de son père. Celui-ci était bien entendu absent.
- Je lui ai fait part de lidée que tu mas suggérée et elle semble complètement excitée par elle. Je lui ai bien sûr parlé de nous et de notre relation. Cela aussi lexcite au plus haut point. Et tu sais ce quelle ma proposé ?
- Non !
- Que ce soit toi qui serves dappât à mon père. Je lui avais dit combien tu étais bandante et que tu étais capable de faire tomber nimporte quel homme amoureux fou de toi. Je suis sûr quen moins de temps quil ne faut pour le dire, tu le feras bander comme un âne et quil ne sera pas capable de te résister plus de cinq minutes ! Tu es partante ?
-
. (Je ne répondis pas.)
Je regardais Slim pour voir ce quil en pensait. Dévidence mes deux homes en avaient déjà parlé ensemble. Les salauds voulaient mutiliser comme appât en moffrant à Mohand. Je connaissais les idées de Slim en la matière; mais je croyais Sofiane plus traditionnel. Je ne pensais pas quil serait daccord pour que je me donne à un autre homme que lui et Slim. Je venais de comprendre que Slim avait déteint sur lui et quil voyait dun très bon il le fait dappartenir à dautres hommes queux deux. Je ne savais pas si jétais déçue. Jétais très partagée dans mes sentiments : dun côté jétais déçue que Sofiane veuille me partager; cétais comme si il venait de me déclarer quil ne maimait plus. Dun autre, je savais que Slim en serait heureux.
Et puis, javoue que jétais un peu jalouse de la relation que Sofiane entretenait ave sa belle-mère. Il avait beau dire quil ne laimait plus et quentre eux il ny avait que le sexe et la vengeance, je savais au fond de moi quils saimaient encore très fort. Je savais que ce que jallais faire (parce quévidemment, javais au fond de moi, déjà accepté la mission qui métait dévolue) allait les rapprocher encore plus et leur permettre même de vivre ensemble. Jétais perplexe. Mais en regardant Slim dont le visage montrait de linquiétude pour ma réponse, je me décidai à dire oui.
- OK ! Je suis partante ! Mais je naimerais pas que nos relations à tous les trois pâtissent de ce que nous allons faire. Je veux bien exciter Mohand, jusquà ce quil perde le contrôle de lui-même. Pour cela je sais y faire. Mais je ne voudrais pas quil y ait un drame. Que ton père refuse de te voir tirer sa femme et quil aille vers des gestes extrêmes !
- Ne ten fais pas pour ça ! Dis Slim, je pense connaître ce genre dhomme. Je crois quau fond, il sera content. Cela le libèrera de ses devoirs de mari et lui laissera le chemin libre pour vivre ses amours comme il lentend ; sans se cacher. Sa femme le trompe dun côté et lui fera ce quil a toujours fait de lautre. Chacun trouvera son compte.
- Jen accepte laugure ! Dis-je
Et cest comme cela que quelques jours plus tard, Sofiane se fit inviter pas sa belle-mère pour dîner. Il avait annoncé quil ne sera pas seul et quil sera accompagné par une nouvelle amie. Nous débarquâmes donc une fin daprès-midi, un début de week-end, vers dix sept heures. Le soleil était encore haut et nous fûmes reçus, dans la belle villa du couple, par Mohand qui portait une robe de chambre en soie qui lui arrivait au dessus des genoux et dun pantalon de pyjama. Je ne savais pas sil portait autre chose.
Mohand était un homme, denviron cinquante-cinq ans, grand et fort, avec un petit embonpoint dû à lâge et certainement aussi à une forte consommation de bière. Il avait un visage légèrement joufflu et une bouche gourmande (exactement celle de Sofiane !) surmonté dune grosse moustache à la Georges Brassens. Physiquement, il paraissait ce quil était: un jouisseur ; un homme qui aimait croquer la vie à pleines dents. Ses petits yeux très mobiles narrêtaient pas de mexaminer. Il avait le regard indiscret et impudique qui trahissait ses pensées. Et ses pensées disaient que je lui plaisais et quil avait envie de me tirer !
Je me dis en moi-même que ma mission serait beaucoup plus facile que prévue : cet homme était incapable de cacher ses désirs et ses envies. Tout le monde pouvait se rendre compte quil avait des pensées ludiques et quil était prêt à tout pour les satisfaire. Il nous fit entrer dans immense salon dans lequel se trouvait un magnifique brin de femme, qui devait avoir environ trente ans. Je venais de comprendre pourquoi Sofiane était amoureux de cette femme, et pourquoi Mohand le Mohand dont je venais de faire la connaissance et qui me paraissait être un sanguin, qui ne sait pas résister à ses pulsions avait été jusquà voler cette femme à son fils.
Aïcha fait partie de ces femmes à la beauté discrète, mais réelle. Elle était belle sans ostentation. Elle nétait pas très grande un mètre soixante-dix, environ mais aux proportions idéales. Elle était elle aussi habillée dun kimono en soie bleue qui mettait en valeur ses superbes formes : des épaules rondes, une poitrine arrogante, bien que pas très grosse, des seins de taille moyenne qui pointaient sous la soie du kimono (je savais quelle ne portait pas de soutien-gorge), une taille vraiment fine, un ventre plat, des hanches étroites et rondes, un fessier bien rond et haut perché et de longues jambes que le fin tissu du kimono dessinait à chacun de ses pas.
Elle avait aussi de magnifiques yeux noisette, immenses et non maquillés, des cils très longs qui donnaient de la profondeur à son regard brillant dintelligence et de moquerie et une belle bouche, pas très grande mais superbement dessinée. Le menton était ferme, signe dune volonté très forte. Elle avait aussi un port de tête altier, sur un cou long, fin et blanc. En regardant son cou, moi, une femme, javais presque envie de lembrasser, tant il était attirant, beau et brillant. Ma jalousie de départ me reprit, en la voyant si belle. Javais vraiment peur quelle ne saccapare définitivement de mon deuxième amour et quil soit incapable de lui résister.
Elle nous accueillit avec simplicité en embrassant tendrement Sofiane sur les joues : deux baiser très sonores que son mari faisait semblant de ne pas voir, ni entendre. Elle sapprocha de moi, me regarda de haut en bas et de bas en haut, me fit un sourire lumineux et dit :
- Je crois que Sofiane a trouvé la femme quil attendait depuis longtemps. Tu es vraiment magnifique ! Je suis jalouse ! Tu es bien plus belle que moi ! Asseyez-vous ! Mohand va nous servir des rafraîchissements ! Quattends-tu ? (Elle sadressait à son mari).
Mohand alla jusquau bar, qui se trouvait au fond du salon, ramena deux bière et deux jus de fruit. Il servit les jus aux femmes et ouvrit une bière quil offrit à son fils. Il se réserva la deuxième bière et vint sasseoir sur un fauteuil qui me faisait face et ne me quitta plus des yeux. En fait, il me dévorait des yeux. Je lui fis un sourire aguicheur, que Aïcha intercepta, sans réaction. Elle attendit encore quelque temps, en jetant de temps en temps un regard furieux à son mari, puis ny tenant plus elle lapostropha :
- Oui Warda et belle et tu as envie de la tirer ! Mais soit plus discret ! Cest lamie de ton fils !
Mohand, comme pris en faute, essaya un moment de ne plus me regarder, mais ne put pas tenir longtemps. Surtout quen face de lui, je jouais avec mes jambes que je croisais et décroisait, laissant au passage apparaître lintérieur de mes cuisses et la petite culotte noire que je portais. Je voyais le visage de Mohand, qui venait tout rouge. Son regard se faisait plus perçant et je le voyais qui ouvrait la bouche comme pour mieux respirer. Il était à point !
- Viens dit Aïcha à Sofiane, accompagne-moi à la cuisine pour voir où en est le dîner ! Si je reste ici, je vais finir par faire des dégâts ! Le cochon de ton père est entrain de baver devant les belles cuisses de ton amie. Jespère que tu nes pas jaloux !
Sofiane et Aïcha sortirent du salon et nous laissèrent seuls Mohand et moi.
- Tu sais où ils vont ? Me dit-il.
- A la cuisine !
- Non, ils vont baiser ! Ils croient que je ne suis pas au courant ! Je sais pour eux depuis longtemps ! Et en fait, je laisse faire exprès, car cela me donne loccasion de faire ce que je veux, sans me poser de problèmes. Ma femme me trompe et je le sais ! Je la trompe et elle le sait ! Comme cela nous sommes quittes ! Il ne nous quune seule chose : rendre nos comportement publics. Ta présence ici est loccasion pour faire cela. Je vais te tirer comme une bête, même si tu nes pas daccord et Aïcha et Sofiane nous surprendront ! Ils feront semblant de soffusquer de la situation, mais au fond ils seront heureux et libres de saimer, sans se cacher de moi ! La seule perdante dans cette affaire ce sera toi !
Cétait comme si je venais de recevoir un coup de gourdin sur la tête. Nous avons tendus un piège à Mohand et en fin de compte, cétait lui qui en profitait. Il était au courant depuis le début de la relation entre son fils et sa femme et il lavait acceptée. Je me demandais maintenant quel pouvait bien être mon rôle. Javais accepté de coucher avec lhomme dans le but de rendre service à mon amant et à mon mari. Et voila que cette coucherie ne sert plus à rien. Devais-je continuer comme si de rien nétait et baiser avec cet homme qui je lavoue commençait à mintéresser, en tant quamant de passage ? Ou alors devais-je tout laisser tomber, appeler Sofiane et Aïcha et leur expliquer quils navaient plus à se cacher pour saimer ?
Pour gagner du temps et réfléchir, je demandais à Mohand de me faire visiter le jardin de la villa, qui me semblait immense et bien entretenu. Je savais que cela le contrariait parce quil avait vraiment envie de faire lamour avec moi. Mais il ne put refuser ma demande. Il me suivit donc dans le jardin, qui effectivement était magnifique et me montra, avec une fierté non feinte, tout ce quil avait fait planter par des jardiniers professionnels. Il memmena ensuite vers la grande piscine dont je navais pas soupçonné la présence pour me la montrer avec fierté. Pendant toute la durée de la visite, il se tenait derrière moi. Je sentais son regard peser sur mes hanches, mes jambes et surtout mon cul. Javais même limpression quil respirait difficilement, tant il avait envie de semparer de moi. En arrivant devant la piscine, je sentais son souffle sur ma nuque; il était tout près de moi. Je savais quil nallait pas tarder à faire quelque chose, pour assouvir son désir de me tirer.
Jétais en position dattente. Je ne savais pas ce que je ressentais réellement. Dun côté son souffle sur ma nuque et sa respiration difficile titillaient mon imagination. Je le sentais tout près de lapoplexie. Jimaginais ses puissantes mains qui étaient sur le point de sa poser sur mes hanches et les emprisonner. Je limaginais se coller contre mon dos pour me faire sentir son sexe en érection. Je limaginais portant une de ses mains sur ma poitrine pour palper mes seins. Je limaginais
.
Et puis tout bascula dun coup. Ses mains se posèrent effectivement sur mes hanches et me tirèrent vers larrière, me collant contre lui. Sa bouche vint se poser sur mon cou pour un baiser violent et mouillé. Il tendit son bassin vers lavant pour être en contact étroit avec mes fesses et me montrer combien il bandait. Je sentais en effet son sexe dur comme de la pierre chercher la raie de mes fesses pour tenter de sy introduire. Il faisait des petits mouvements avec ses hanches, pour bien me montrer son envie de me pénétrer.
Et moi je sentais lexcitation arriver au galop. Je ne pensais pas que jallais être excitée par cet homme, mais je ne pus retenir ma chatte de couler et une chaleur insupportable irradier sur tout mon bas ventre et sur mes seins. Javais envie de moffrir à cet homme qui se tenait là derrière moi et qui me montrait, en silence quil voulait me posséder; quil voulait me tirer. Je savais quil ny avait aucune tendresse chez cet homme. Tout ce quil voulait, cétait de satisfaire ses instincts. Eh bien, moi aussi je me rendais compte que cétait tout ce que je voulais : être tirée comme une pute par cet homme ! Ici même contre la grande table en pierre de la piscine.
Je ne pus mempêcher de lui montrer que javais moi aussi envie de baiser. Je me mis à bouger les hanches, pour accompagner le frottement de son sexe sur la raie de mes fesses. Il se mit à gémir de plaisir. Il avait compris quil avait gagné et quil sagissait maintenant pour lui de me baiser comme une bête. Je ne voyais toujours pas ce quil faisait derrière moi ; je ne me retournai pas, au moment où il séloigna de quelques centimètres de mes fesses. Jattendais impatiemment quil sorte son zob, quil relève ma robe, rabaisse ma culotte et me fasse pencher sur la table en pierre, pour me posséder comme cela, à la hussarde.
Mon attente ne fut pas longue ; il fit exactement ce que jattendais quil fasse. Une fois ma culotte descendue sur mes genoux, je sentis sa main se poser sur ma chatte et ses doigts ouvrir mes grandes lèvres qui dégoulinaient de mouille.
- Tu mouilles, salope ! Tu as envie de mon zob ! Dis-moi que tu as envie de te faire tirer par Mohand ! Dis-moi que tu veux faire la connaissance du gros zob de Mohand ! Dis-le ! Dis-le !
Je ne répondais pas, mais lui montrais que javais envie et poussant mes hanches vers larrière, pour mieux sentir ses doigts qui farfouillaient dans ma chatte. Et puis, je sentais sa main quitter lendroit, pour être tout de suite remplacée par une autre sensation, beaucoup plus plaisante: son sexe qui venait de se poser entre mes grandes lèvres. Il était dur et doux ! Je le sentais qui palpitait et qui frémissait dimpatience. Et puis dun coup brutal, il lenfonça à lintérieur de mon vagin, tirant de moi un petit cri de douleur. Il mavait vraiment fait mal ! Je ne voyais pas lengin qui me possédait, mais je le sentais en moi : il était immense ! Long et gros ! Il était interminable ! Il me rappelait celui de Sofiane dont le gland très large me faisait mal, chaque fois quil me pénétrait. Son père semblait avoir le même zob ! Je nosais pas montrer mon contentement dêtre possédée comme cela, à la hussarde, par un bel engin ! Mais en moi-même, je hurlais mon plaisir ! Et Mohand, lui ne se gênait pas pour me traiter de tous les noms, en me tirant de plus en plus fort. Cela lexcitait encore plus de me traiter comme une pute, en me prenant en force et me faisant sentir la puissance de son engin. Et moi aussi, cela mexcitait ! Je savais que je nallais pas tarder à le lui dire ! A le hurler ! A le supplier de ne pas sarrêter ! De recommencer tout de suite après ! Jétais prise au piège de mon plaisir !
- Tu aimes salope ! Tu aimes que Mohand te baise comme ça ! Dis-moi que Mohand est ton maître ! Mohand cest ton homme ! Dis-le ! Je te lordonne ! Dis-le !
- Mohand est mon maître ! Je suis sa chienne ! Baise ta chienne ! Fais jouir ta chienne ! Fais-lui connaître le septième ciel !
- Dis-moi que tu aimes mon zob ! Mon zob dans ta chatte ! Dis-le ! Ça mexcite dentendre que tu aimes les gros zobs dans ta chatte !
- Jadore les gros zobs dans mon hatchoun ! Zob dans mon hatchoun ! Zob ! hatchoun !
- Oui ! Mon zob dans ton hatchoun ! Dans ton hatchoun ! hatchounnnnn !
Et il partit dans une immense éjaculation, accompagnée par un long hurlement de plaisir, qui venait du fond de ses entrailles. Et moi aussi je voyais arriver un puissant orgasme, qui dévala impétueusement sur moi. Il continuait à me tirer en force pendant quil éjaculait et que moi je déchargeais tout mon jus. Jentendais les clapotis impudique que faisait le zob de Mohand dans ma chatte complètement noyée et je sentais mon jus et le sien se mélanger et couler à lextérieur. Cette sensation que me donnait le sperme de Mohand et ma cyprine qui coulaient entre mes cuisses pour aller se répandre par terre, ajoutait à mon plaisir, qui était déjà immense.
Il narrêta le mouvement de va-et-vient de son sexe, que quand il le sentit complètement rassasié et ramolli. Il le sortit de mon vagin, resta un moment immobile derrière moi me retourna pour me mettre en face de lui. Il avait le visage dun homme heureux et repus. Il était content de lui ! Je ne savais pas pourquoi il avait cet air de contentement et de fierté. Est-ce quil était fier de mavoir fait jouir ? Ou alors était-il fier de mavoir possédée ?
- Tu as aimé ! Je suis sûr que tu as aimé ! Je craignais que tu ne sois du genre pimbêche ! Du genre qui naime pas vraiment le sexe ! Toi tu adores baiser ! Et jaime ça ! Dis-moi que Mohand ta bien fait jouir !
- Oui tu mas fait jouir ! Mais ce nest pas assez ! Jen veux beaucoup plus ! Jaime baiser ! Et jaime jouir ! Baise-moi encore ! Tu as un magnifique zob ! Il est aussi beau et aussi fort que celui de ton fils ! Mais là il semble fatigué ! Laisse-moi le réveiller ! Je le veux encore ! Sinon je vais hurler que tu nes pas assez viril !
Je me mis à genoux devant lui et pris son zob dans ma main, pour le caresser et les lécher jusquà ce quil reprenne sa belle bandaison. Il me fut très facile de le refaire bander come un âne. Jai toujours su utiliser ma bouche, mes lèvres, ma langue et mes mains pour redonner de lénergie aux zobs fatigués. Effectivement, le zob de Mohand était la copie conforme de celui de Sofiane, avec le même gland en forme de tête de champignon, très large. Je voulais le regarder pénétrer dans ma chatte et en ressortir. Jai toujours adoré ce spectacle dun gros manche, qui entrait et sortait de ma vulve et qui me limait en force. Je mallongeai sur la table en pierre, les jambes ballantes. Il vint se mettre entre mes cuisses, les souleva pour les poser, pliées de part et dautre de ma poitrine, et me pénétra, toujours aussi brutalement.
Je sentais, comme tout à lheure, toute la force du zob de Mohand. Mais maintenant je pouvais le voir entrer et sortir de ma vulve. Cétait divin ! Il sortait complètement de ma chatte, limmense gland en bataille et menaçant, et repartait à lassaut de mon vagin, quil pénétrait très profond en produisant un superbe clapotis impudique, quon pouvait entendre de très loin. Et il ressortait, superbe de force et de puissance, pour repartir immédiatement à lassaut. Cétait aussi bien du plaisir pour mes sens que pour mes yeux. Le spectacle de limmense zob de Mohand qui entrait et sortait de mon intimité et qui était devenu le maître absolu des lieux, me transportait vers les plus hautes cimes du plaisir.
Je savais que je nallais pas tarder à avoir un orgasme aussi fort que le premier. Mais je voulais aussi faire durer le plaisir. Cétait tellement bon, que je voulais que cela dure longtemps ! Très longtemps !
- Néjacule pas tout de suite ! Je veux que cela dure encore !
- Ne crains rien, Mohand sait faire jouir ses femelles ! Tu aimes regarder le zob de Mohand qui te possède ! Tu aimes le regarder prendre possession de ton hatchoun !
- Oui jadore le regarder entrer et sortir de ma saoua ! De mon hatchoun ! Cest lui le maître ! Il est chez lui ! Il ordonne, elle obéit ! Tire-moi plus fort !
- Oui salope ! Je vais te tirer comme un taureau ! Je suis ton taureau ! Tu es ma génisse ! Tu es ma chienne ! Tu es une chienne ! Dis-moi que tu es une chienne ! Que tu veux que je te traite comme une chienne ! Dis ! Dis !
- Je suis une chienne ! Une chienne !
Je ne pouvais plus me retenir. Mon excitation et mon plaisir était à leur comble. Il fallait que je décharge ! Je le lui dis !
- Je vais jouir très fort ! Je vais jouir Je jouiiiiiis !
Et je partis dans un long râle, tout en déchargeant des litres de jus. Mohand, qui nen était pas encore là, accéléra le rythme de ses coups de boutoir, ainsi que lamplitude des va-et-vient. Son zob sortait maintenant très loin et repartait encore plus fort à lintérieur de mon vagin. Je le voyais qui prenait un élan de plus en plus long et qui repartait, sublime de force, à lassaut de ma chatte. Au bout dune dizaine dallers-retours, je le vis qui se crispa et qui arrêta sa respiration. Je vis sa bouche se tordre sous sa moustache et de la bave en couler sur la commissure de ses lèvres comme une fontaine. Il poussa un long cri de mourant et éjacula. Je vis le sperme sortir de son zob au moment où il quittait ma vulve et se répandre sur mon pubis, avant de repartir encore une fois au fond. Il éjacula ainsi trois fois avant de seffondrer, fourbu, sur moi. Il maintenait toujours mes jambes pliées de part et dautre de ma poitrine et resta ainsi quelques minutes, le temps de retrouver une respiration normale. Ce fut ce moment que choisirent Sofiane et Aïcha pour donner signe de vie.
- Tu as eu ce que tu voulais espèce de porc ! Hurla Aïcha. Tu as bien baisé cette salope ! Et bien tu vas voir ce que moi aussi je vais faire ! Je vais baiser avec tous les hommes qui me plairont !
- Oui avec Sofiane ! répondit Mohand, sans se démonter. Tu crois que je ne sais pas que vous êtes amants depuis longtemps ! Depuis quil est revenu dAmérique ! Tu me crois si con que ça ! Jai laissé faire parce que cela marrangeait ! Je pouvais courir tous les jupons qui me plaisaient, sans me poser trop de questions morales ! Alors si tu veux baiser avec mon fils, libre à toi ! Si dautres hommes te plaisent, tu nas quà te les payer ! Tout ce que jexige, cest de la discrétion ! Le moindre scandale qui menacera ma position sociale, je te le ferais payer ! Et tu sais de quoi je suis capable ! Aller maintenant allons manger ! La partie de jambe en lair avec lamie de Sofiane, ma donné très faim.
Aïcha, Sofiane et même moi, nétions vraiment pas très fiers de nous ! Mais quel soulagement pour le fils et la belle-mère, qui venaient de recevoir lautorisation du père de saimer sans plus se cacher de lui. Nous retournâmes à la maison et Mohand et moi, allâmes prendre une douche ensemble. Nous avions même batifolé sous la douche, comme des amoureux ! Cétait une situation bizarre, où le seul vrai vainqueur fut Mohand ! Il avait eu ce quil voulait (moi !) et avait remis sa femme et son fils à leur place ! Cest vrai que chacun y avait trouvé son compte ! Sauf moi qui me suis retrouvée piégée : Mohand mavait tirée et même mavait donné beaucoup de plaisir. Mais il nétait pas question pour moi de poursuivre laventure avec lui. Dailleurs lui-même ne le voudrait certainement pas. Je nétais quune passade ; une envie irrépressible quil avait satisfaite et cela lui suffisait. Il pouvait maintenant passer à autre chose.
Sofiane lui avait retrouvé Aïcha, quau fond de lui, il aimait toujours. Dailleurs en les voyant ensemble, javais vite compris que cétaient deux vrais tourtereaux, et quils saimaient damour. Je navais aucune place entre eux, ou même à côté deux. Il me restait, me dis-je Slim, mon chéri, mon ami, mon amant ! En rejoignant la table pour dîner, jétais un peu triste. Javais pris énormément de plaisir sous les coups de boutoir de Mohand, mais lui déjà, il était loin. Dailleurs il ne dina pas avec nous, prétextant un rendez-vous urgent avec un client. Il nous quitta vers vingt heures en nous disant de ne pas lattendre, il ne rentrerait certainement pas de la nuit. Nous restâmes tous les trois, Sofiane, Aïcha et moi. Nous dînâmes rapidement presque en silence, chacun étant plongé dans ses propres pensées.
A la fin du repas, Aïcha nous invita à prendre le thé dans le salon. Nous nous y rendîmes, toujours en silence. Je massis sur un des fauteuils, mattendant à ce que Sofiane et Aïcha prennent place, ensemble, sur le grand sofa. Ils sassirent effectivement sur le sofa, mais Sofiane me fit signe de venir les rejoindre. Je ne savais pas ce que cela pouvait signifier, mais jobéis en allant masseoir à sa droite, évitant de trop me rapprocher de lui.
- Approche-toi ! Quest-ce qui te prend ? Tu ne veux plus de moi ? Tu es tombée amoureuse de mon père ? Embrasse-moi !
Jétais abasourdie ! Mais tellement heureuse ! Toutes mes appréhensions de tantôt venaient de seffacer comme par miracle. Le comportement de Sofiane venait dagir comme un coup de gomme sur les idées noires que je traînais depuis une heure environ. Sofiane membrassa aussi tendrement que par le passé. Il était toujours amoureux de moi ! Et moi de lui ! Aïcha semblait la plus gênée des trois. Elle nous regardait avec ses immenses yeux, qui avaient perdu leur brillance et qui semblaient tristes. Cétait comme sils nous posaient des tas de questions « Et moi dans tout cela, quest-ce que je deviens ? » « Suis-je condamnée à perdre pour toujours, lamour de ma vie ? » « Ce nest pas possible que cela finisse ainsi ! »
Comme sil avait lu toutes ces questions dans les yeux de sa belle-mère, Sofiane lenlaça et lembrassa aussi tendrement quil venait de le faire avec moi. Ils échangèrent un long, très long baiser, damoureux. Quand, il cessa de lembrasser et quil vit le magnifique sourire quelle lui envoya, il sourit lui-même de toutes ses dents et en nous regardant tour à tour, il prononça la sentence que Aïcha et moi attendions avec angoisse.
- Jaime Warda et jaime Aïcha ! Warda aime Slim ! Slim aime Warda et bientôt, il aimera Aïcha ! Pourquoi perdre tous ces amours pour nen choisir quun ! Nous avons la chance de nous aimer à plusieurs et daimer faire lamour ensemble ! Continuons et appelons Slim pour quil nous rejoigne !
Javais failli me lever et lancer mon bras droit vers le ciel en signe de victoire, en criant « youppie ! ». Je me retins de justesse. Mais jétais tellement heureuse de ce que je venais dentendre ! Mon histoire amoureuse pouvait continuer, sans être amputée ! Je pouvais garder et Slim et Sofiane ! Je venais aussi de gagner Aïcha avec laquelle jétais sûre de bien mentendre ! Le couple à trois que nous formions avant, se transforme maintenant en un couple à quatre : deux femmes et deux hommes. Je venais de perdre le privilège dêtre la seule femme du groupe, mais en contrepartie, javais gagnée une amie (qui se transformera très vite en amante !).
Nous appelâmes Slim, pour quil nous rejoigne et vienne passer la nuit avec nous. Il ne tarda dailleurs pas à arriver, comme sil se trouvait juste à côté, au moment où je lappelais. Il sétait mis daccord avec Sofiane pour se trouver très près au moment où on lappellera.
Une autre histoire, à quatre commença cette nuit, qui nous donna à tous énormément de plaisir et de bonheur. Je te raconterai la suite une prochaine fois.
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